10.2.1904 à Bâle, 14.5.1982 à Bâle, prot., de Bâle. Fils de Johann Rudolf, commerçant en textiles. 1938 Ruth Kälin, fille de Philipp Arnold. Commerçant en textiles, C. se mit à écrire dès 1935 des comptes rendus de courses automobiles, sous le pseudonyme de Fridolin. Il abandonna son métier pour le journalisme en 1940. Auteur d'articles destinés à la rubrique culturelle, des chroniques langagières du Glopfgaischt (de "l'esprit frappeur", dès 1947), d'un vocabulaire thématique du dialecte bâlois (E Baseldytsch-Sammlig, 1947, 31974) et de récits signés Fridolin (Die milde Lupe, 1949; Die Sonnenuhr, 1951), collaborateur de la radio, où il fut un pionnier des jeux radiophoniques en langue allemande, C. était connu aussi bien en Suisse qu'en Allemagne.
Sources et bibliographie
- Fonds, StABS
- Basler Nachrichten, 3, 5, 9 et 12.1.1973
- R. Suter, «Zum Geleit», in Basler Journalisten, 1983, 5-9
En bref
Appartenance familiale | |
Dates biographiques | ∗︎ 10.2.1904 ✝︎ 14.5.1982 1904-02-101982-05-14 |
Indexation thématique
Arts et littérature / Littérature |