28.2.1754 à Brugg, 23.6.1833 à Aarau, prot., de Brugg et Aarau. Fils de Samuel, aubergiste et commerçant, et d'Elisabeth Düring, d'une famille bourgeoise de Zurich. 1) 1781 Salome Meyer, fille de Johannes, pasteur, de Brugg, 2) 1788 Elisabeth Froelich, fille de Heinrich, pasteur, de Brugg. Etudes à l'école supérieure (académie) de Berne, consécration en 1777. Précepteur de jeunes patriciens bernois (1777-1780). Pasteur de Nidau (1780), de Brugg (1785). Dès 1797, F. travailla à l'indépendance de l'Argovie, d'où son surnom de "pasteur révolutionnaire". Homme de confiance de Philipp Albert Stapfer et d'Albrecht Rengger, il fut nommé préfet du nouveau canton helvétique d'Argovie (avril 1798 à novembre 1801), où il s'occupa avant tout de l'instruction publique. Député au Grand Conseil argovien (1815-1831). Maître à l'école cantonale (1805-1826), juge à la cour d'appel (1826-1831).
Sources et bibliographie
- E. Feer, Die Familie Feer in Luzern und im Aargau 1331-1934, 2, 1964, 414-421
En bref
Appartenance familiale | |
Dates biographiques | ∗︎ 28.2.1754 ✝︎ 23.6.1833 1754-02-281833-06-23 |
Indexation thématique
Politique (1790-1848) / Cantons |
Religion (protestantisme) |