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Johann JakobStolz

31.12.1753 à Zurich, 12.3.1821 à Zurich, prot., de Zurich. Fils de Friedrich Salomon, cordonnier, et de Judith Ursula Hofstetter. 1) 1777 Verena Güttinger, domestique, 2) 1811 Anna Barbara Hess-Wegmann. Etudes de théologie à Zurich, consécration (1774). S. fut précepteur et traduisit le Nouveau Testament (Saemmtliche Schriften des Neuen Testaments, 1781-1820, plusieurs tirages). Grâce à Johann Kaspar Lavater, il devint deuxième prédicateur à Offenbach-sur-le-Main (1781) et deuxième (1784), puis premier (1809) pasteur de l'église Saint-Martin à Brême. Docteur en théologie de l'université de Marbourg (1798). Prédicateur en vue à Brême, partisan des Lumières, il défendait une théologie très rationaliste et se distinguait par sa pensée libérale et tolérante. Après l'annexion de Brême par la France, S. retourna à Zurich en 1811, où il se consacra à ses recherches.

Sources et bibliographie

  • Fonds (mémoires), Arch. d'Etat de Brême
  • Neujahrsblatt der Stadtbibliothek Zürich, 1830
  • ADB, 37, 764-765
  • P. Wernle, Der schweizerische Protestantismus im XVIII. Jahrhundert, 3, 1925, 292-294, 301-306
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Notices d'autorité
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En bref
Dates biographiques ∗︎ 31.12.1753 ✝︎ 12.3.1821
Indexation thématique
Religion (protestantisme)

Suggestion de citation

Meinrad Suter: "Stolz, Johann Jakob", in: Dictionnaire historique de la Suisse (DHS), version du 26.11.2013, traduit de l’allemand. Online: https://hls-dhs-dss.ch/fr/articles/049658/2013-11-26/, consulté le 27.03.2025.